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GÖTEBORG
: LES ACCUSÉS DE LA LIGNE D'INFO ONT OUBLIÉS.
S'il avait su, ce qui arriverait, l'accusé
n'aurait pas commencé. "Je me sens vide", a
exprimé mardi un des accusés lors des débats
judiciaires contre la dite "centrale de relation "[ligne
d'info]. Lui-même a affirmé continuellement que
sa tâche dans le lieu où il se trouvait [ ce n'était
pas celui d'Infotelefon ], consistait à entendre et noter
le contenu d'une radio de police [ ce qui en Suède est
une sorte d'acte criminel]. L'objectif était de se documenter
sur ce qui se passait en réalité pendant le sommet.
Les renseignements collectés devaient être utilisés
pour alimenter des débats, a-t-il dit. Il "faut nous
croire fou pour penser que cette activité était
utilisée pour orienter des groupes d'individus dans la
ville ", a dit l'accusé lors du procès de
mardi [ le 15 janvier].
L'ACCUSÉ
REFUSE DE COLLABORER
En tant que Procureur
général, Peter Larsson l'a interrogé à
propos des personnes présentes dans le logement à
différents moments et l'a interrogé au sujets des
objets, entre autres les cartes et les téléphones
qui ont été trouvés dans le logemen. L'accusé
a dit qu'il ne pouvait se rappeler de rien. Quand l'accusation
voulait savoir, qui avait envoyé des SMS du logement à
des militants se trouvant dans la ville, il ne pouvait pas encore
répondre.
OU NE VEUT PAS COLLABORER
Dixit l'accusé " je sais moi, ce
que c'est d' être assis dans une cellule et je peux pas
avec ma conscience convenir que d'autres doivent subir ce que
je subis. Par conséquent, je me décide de répondre
seulement à des questions sur ma personne."
OU NE SE RAPPELLE PAS NON PLUS
En
outre un autre accusé, âgé de 21 ans, a été
interrogé mardi matin. Lui aussi ne se souvenait de rien,
de ce qui a été fait et si du logement, on a effectivement
téléphoné.
"je n'ai
pas pris de note", ai énoncé lui. Le plaidoyer
de conclusion est tenu jeudi.
[ "Goeteborg-postes",
15.01.02; lamelle locale civile; Traduction du Solidaritetgruppe
]
email: genua.presse@uni.de
germany.indymedia.org/2002/01/...
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