Volonté díescamotter le debat. Peu de place laissée aux critiques díorganisation et de choix politique. Questions de militants restées sans réponseÖ Après Gênes, les leaders díAttac ont essayé de minimiser la montée en puissance díune frange radicale chez leurs adhérents : ils ont étouffé la parole de ceux qui ne se reconnaissaient plus dans les prises de position du Bureau et souhaitaient passer à des modes díaction plus directs.

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De toute maniere il n'y a rien a attendre de gens qui crache sur le blck block et qui le lendemain de la mort de Carlo se baladaient tous avec un petit brassard noir en signe de deuil ...
Carlo était un des notre ert nos mort ne sont pas a vendre .

L'orthographiste degeneré
Anarcho autonomne

Voilà enfin un article intéressant de critique d'Attac ...
D'habitude, on ne peut lire que des slogans du style: "ce ne sont que des réformistes" et tout le tralalala.

Cet article reflète bien ce qui passe dans une association qui n'arrete pas de croitre depuis plusieurs années, il montre comme sa composition est plurielle et les tensions existantes en son sein.

Bravo!

PS: Je crois que tu dois parler de Christophe Aguiton et non de Serge Aguitton.

www.geocities.com/zumbi500

enfin un article constructif de critiques sur ATTAC!
je milite à ATTAC et à Socialisme par en bas et me reconnait dans la frange radicale décrite dans ce texte. Il est vrai que l'attitude du buraeu m'énerve parfois , et que le dialogue est pour le moins restreint,mais malgré cela, ATTAC reste un mouvement de contestation constructive et non pas ,comme certains crétins l'affirment,un" servant du capitalisme"!!!

Si une image vaut mille mots, combien vallent 2600 images, en Euro?

Pour revivre les évènements de Gênes, consultez SANG GÊNES, le cybersafari sur Gênes:

http://pages.infinit.net/forster/main/welcome.htm

Tod Forster.

pages.infinit.net/forster/main...

Je suis moi aussi heureuse d'avoir (enfin) trouvé dans vos pages (si nécessaires...) une critique argumentée et constructive de l'évolution de ATTAC. Je fais partie de ce mouvement depuis trois ans, plus pour "faire nombre" et recevoir leurs infos que pour leurs actions, indigentes sur le plan local. Attac fait perdre à ses militants de base beaucoup d'energie et de salive en réunions qui n'apportent rien de concret. Mais je pense malgé tout que ce mouvement est nécessaire dans la lutte antimondialisation dans sa mission (première) d'éducation populaire et d'information, via leurs publications et leurs réunions de vulgarisation des outils conceptuels utiles à la lutte, et de lobbying (son activité de fait).
Plutot que de nous diviser, il serait plus judicieux d'ajouter nos forces, de combattre sur tous les fronts, en communicant sur nos actions respectives. Et assumer ce que nous sommes ou que nous ne sommes pas. Attac n'est pas un mouvement activiste, mais un mouvement d'éducation populaire et de lobbying.

Merci pour cette article très bien fait sur attac.

j'etait a genes, j'ai encore le bruit des sirenes d'ambulance et de leur ballet incessant dans la tete.
je suis sur que ça vous dit quelque chose........

voir que attac appelait a la delation des elements "perturbateurs" me fait litteralement gerber, l'absence de democratie a l'interieur aussi.

Je n'ai plus rien a dire a une association qui collabore avec la police fachiste de berlusconi, ou avec d'autres polices.

Je crache sur les dirigeants de attac de toute mon ame.
sale bande de collabo............

merci de m'avoir ecouter.

LUIS. militant, LCR.

Je vois que la LCR devient elle aussi plurielle car Besancenot ne perd pas une occasion de dire qu'il est adhérent d'Attac (Attac national d'ailleurs n'a toujours pas reçu sa cotisationÖ mais peut-on faire confiance à d'odieux réformistes)

et alors je n'ai pas le droit de donner mon avis simplement parce que je suis de la ligue, il est illusoire de generaliser l'attitude d'un parti a tous ses militants, de plus c reducteur.
ciao cher Anonyme. (t'inquiete tu peux mettre ton nom je n'userait pas de mesures de retortion ). lol
luis

Il est un peu illusoire de vouloir changer les choses par la force...
Pratiquez-vous le full contact, la course à pied (dans l'ordre, sprint et demi-fond)et le maniement du bazooka ?
En face vous avez des militaires ! Quand vous serez prêts on se reverra ! Eux ils s'entrainent tous les jours... et les patrons leur donnent l'argent qu'il faut comme on nourrit son chien de garde.
En attendant il faut gagner une bataille d'idées qui s'inscrit sur le long terme. Il faut discuter et s'informer, lire pour comprendre et tenter de se faire les idées les plus justes. Il faut convaincre le voisin du bâtiment d'en face que vous croisez à la boulangerie... Pour l'instant il lit le Parisien et préfère cracher sur l'étranger, le RMiste que sur le MEDEF ou l'OMC. C'est un con mais il est autant victime du système que vous (peut-être plus).
Quand lui sera convaincu que le système est inique, on aura gagné et le vent aura changé de sens. Et les girouettes changeront de sens.
On aura toujours d'autres batailles pacifiques à mener pour la justice sociale(ce sont les meilleures !).
ATTAC est un formidable outil.
La fin ne justifie pas les moyens. La méthode que tu emploies donne déjà une petite idée de l'endroit où tu veux aller. Rentrer dans la zone rouge ou ne pas y rentrer, ça ne m'intéresse pas. Par contre que des millions de gens du monde entier se retrouvent, que ce soit à 100 m, 1000 m ou 3000 km d'une réunion de corrompus qui s'étouffent avec l'argent qu'ils ont volé, c'est plus intéressant.
A plus.

Un sentiment d'éceurement à lire cet "article".

Le fond d'abord. Attac annonce 40 000 adhérents, il a en certainemet moins, quoiqu'il en soit sur ces milliers, il est logique que tous ne défendent pas la meme ligne.

Attac n'est pas un groupe affinitaire, mais une organisation pyramidale. Forcément elle ne fonctionne pas selon le consensus, mais d'après les directives d'en haut.

Cet article semble regretter qu'Attac ait une "opposition", bien symbolique d'ailleurs, en la valorisant et en la mettant en avant comme si elle mettait en dangers la structure. On verra bien aux prochaines élections.

Le ton et la forme. Que des "on dit", que des commérages, dénonciations, bruit de chiottes. Sauf une personne citée. Mais tout le reste...

C'est trop facile de passer pour un james bond journaliste en faisant comme si ses sources étaient en dangers. Dangers de quoi ? De ridicule ?

C'est une rhétorique creuse, pour mettre en valeur des idées creuses.

C'est du shweppes , il a la couleur du journalisme, le goût, mais ce ne sont que des bruits de couloirs délétères.

Et de quoi est accusé Attac. De pas avoir voulu parler de Gênes ? Ils n'ont pas l'esprit ancien combattant. Soit.

Que Cassen fait partie du Conseil d'administration d'une multinationale... Soit, mais à quel titre ? Pourquoi ? Comment ?

Qu'Attac aurai appelé à dénoncer des manifestants. Quelles preuves ? Combien de témoignages, un, deux ? Combien de contre témoignage.

Ce qui est certain, c'est qu'Attac n'est pas Reclaim the street, qu'Attac a choisi de faire de la pédagie et de l'éducation populaire. Et bien oui, et alors ?

Que de jeunes militants auraient aimé en découdre à Gênes, et du coup, ils ont du allé sur un autre cortège. Un vrai scoop !

Que des adhérents s'ennuient dans les réunions et préféreraient être plus actif. Autre scoop !

Qu'attac se trompe de stratégie en cherchant l'adhésion des députés et des hommes politiques. Soit, peut-être, certainement meme. Mais ce n'est pas un crime contre l'humanité.

Quoique c'est discutable. Le travail d'édition d'Attac, de médiatisation, permet justement aux groupes plus radicaux, aux analyses de ruptures, d'être plus compris et plus entendu.

Cet article est parti d'une idée préconcue et tricote avec n'importe quoi pour la rendre réèlle. Mieux aurait valu faire une humeur ou un édito, que de jouer au donneur de leçons avec si peu d'éléments concrêts.

NB pour l'auteur de cet article, pour comprendre le sens de pédagagie populaire, fait une recherche sur la fin du XiX éme siècle et ne vas pas chercher midi à quatorze heures.

Que ATTAC n'est pas voulu parler de Gênes, analyser une situation plutôt exceptionnelle, réfléchir collectivement, organiser des rencontres, des débats comme pour la taxe Tobin, "soulever des foules", comme au Zénith, provoquer l'indignation des adhérents comme pour la dette des pays du tiers-monde,( combien d'adhérents ignorent que des manifestants sont poursuivis judiciairement ?), n'est pas anodin.
C'est un mode de faire. Que cela soit pensé ou pas, c'est une façon d'agir qui appartient à tout un processus, une succession de comportements qui sert un système oppressif, répressif, en nous familiarisant avec les horreurs dont ce système fait preuve, en développant notre tolérance à la cruauté qui abonde dans le fonctionnement du maintien de l'ordre. Ne pas dire, de façon dénonciatrice, comme toutes organisations de la taille d'ATTAC sait si bien le faire quand il le faut, pour révéler l'indigne, et créer une mobilisation collective, qui seule peut faire front à l'injustice, parce qu'il s'agit de cela, est un mode de faire d'une association partie prenante. Il n'y a pas qu'un sens au poids d'une ligne d'idée : représenter 20 000 ou 40 000 adhérents ne peut être un argument unique fort pour exprimer une volonté de changer, et ne pas être un même argument fort pour exprimer par le silence, une absence de volonté de dénoncer. Ou alors je ne comprends plus rien.
J'étais secrétaire d'Attac à Gênes. J'ai témoigné de notre comportement avant, pendant et après a manifestation. Comportement qui ne pouvait que mettre en péril les plus exposés et fragilisés d'entre nous (nous = les manifestants), comportements qui nous maintenaient les uns et les autres dans une méfiance et une attitude de surveillance qui nous conduisit à une collaboration avec les services d'ordre, les agents de sécurité, les forces de l'ordre, et comportement au final de procureur en dénonçant les coupables avant que la justice ne l'ait fait (voir les art. de S. George dans Charlie Hebdo, et dans LE MONDE du 8 août 2001 et également les propos du président ATTAC 04 Dominique BOUCHERY sur radio zinzine, le 06/11/01.). Ce qui s'appelle tout simplement du lynchage. Nier l'impact et les conséquences de ces attitudes est grave.
Aujourd'hui, je confirme l'article de MASSALIA, rare journaliste à saisir les nuances d'une situation bien plus complexe que celle qui nous est médiatiquement présentée. Combien d'entre nous, à l'Université d'été d'ATTAC à Arles ont remarqué et été mal à l'aise, que, dans une après-midi consacrée aux évènements de Gênes, réunissant des victimes, des témoins, des passants, des curieux, des journalistes, des familles, la parole est été mobilisée par une direction ( deux personnes ) et concentrée sur une version ?
Plutôt que de polémiquer sur la pertinence de nos articles et la définition du journalisme faisons comme Massalia : soyons humains et redonnons leur sens aux mots que nous utilisons : victime, violence, justice, et surtout solidaritéÖ

Les amis, il faut arrêter de se voiler la face. Qu'attendez-vous d'une association qui se dit réformiste, et non révolutionnaire? Les conservateurs ne sont pas les seuls chiens de garde du système, à leur côtés les réformistes de tout poil vérrouillent le champ de la contestation pour que finalement n'en sortent que de pâles réformettes, des améliorations anodines...
Un autre monde est possible? Ah, ah, ah.
Bon, il faut reconnaitre que grace a cette asso des gens ont été amené à voir le monde économique autrement. Mais c'est tout!
Bon, c'est tout.
@ +.
Iso

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